Les entreprises suisses d’exportation subissent «un cocktail toxique» alliant surévaluation du franc et ralentissement économique en Europe. En attendant des jours meilleurs, elles tablent sur le chômage partiel.
Depuis l’approbation du règlement d’exploitation civil, plusieurs infrastructures sont sorties de terre. Entretien avec Peter Kupferschmied, président exécutif de Swiss Aeropole, société qui gère, entre autres, l’aéroport.