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Malek Jaziri: «Mon histoire est belle»

Parce qu’il a longtemps cheminé seul, le Tunisien de 33 ans a percé sur le tard. Le voici 47e mondial

Malek Jaziri s’est entraîné la semaine passée sur les courts du Centre Tennis Glâne à Romont. © Alain Wicht/La Liberté
Malek Jaziri s’est entraîné la semaine passée sur les courts du Centre Tennis Glâne à Romont. © Alain Wicht/La Liberté

Pierre Salinas

Publié le 23.02.2017

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Tennis »   Hier à Marseille, au 2e tour de l’Open 13, le No 1 océanien a battu le No 1 africain. Vaincu 6-4 6-2 par l’Australien Nick Kyrgios (ATP 13), Malek Jaziri, qui foulait la semaine dernière les terrains du Centre Tennis Glâne de Romont, où son nouvel entraîneur Christophe Freyss donne aussi des leçons (notre édition du 15 février), va prendre le chemin de Dubai, prochaine étape d’un périple qui doit emmener celui qui occupe la 47e place mondiale, le meilleur classement de sa carrière, dans le Top 30 d’ici à la fin de la saison. Et s’il devait échouer dans sa tentative, Malek Jaziri (33 ans) n’en retirerait pas moins de fierté. Parce qu’il est Tunisien. Et parce que la Tunisie, au contraire du Maroc, qui a enfanté des champions tels que Younes El Aynaoui, Hicham Arazi et autres Karim Alami, n’a pas la cul

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