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Le crépuscule d’Hercule

jean ammann

Publié le 08.04.2017

Temps de lecture estimé : 2 minutes

chronique

Costaud. On dit toujours «fort comme un Turc», mais j’ai découvert qu’il y a plus fort que le Turc, il y a le Biélorusse. J’ai regardé jeudi soir, sur Eurosport, au milieu de la nuit, les championnats d’Europe d’haltérophilie, qui se déroulent actuellement à Split, et j’ai vu le concours des moins de 85 kilos. J’ai appris le nom d’Oleksandr Pielieshenko. Costaud, le bonhomme, ainsi que l’a fait remarquer fort justement le consultant! Cent septante-cinq kilos à l’arraché, deux cent onze à l’épaulé-jeté. Costaud, donc, le Biélorusse Pielieshenko, comme la majorité de ses concurrents, car les demi-portions sont rares dans cette catégorie des mi-lourds.

Un peu d’étymologie: haltérophile, qui est l’ami des haltères, comme il y a l’ami des timbres (philatéliste) ou l’ami des opercules (operculophile), mais c’est plus fatigant. Cela ne demande pas le même doigté.

Donc, l’haltérophile aime les haltères et on se demande bien pourquoi. J’ai regardé ces hommes et ces femme

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