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Larry, il y a du Petula Clark et du Albert Einstein en lui

pierre salinas

Publié le 21.01.2017

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Chronique » Fribourg-Gottéron. Entre deux formules d’algèbre et une pensée philosophique sur la «Petite Reine» – «La vie, c’est comme une bicyclette: pour garder l’équilibre, il faut avancer.» – Albert Einstein, homme à la langue bien pendue, a déclaré dans un éclair de lucidité dont il était coutumier: «Tout le monde veut aller au paradis, mais personne ne veut mourir.»

Il y a cinquante ans, le temps de l’insouciance, le temps des yé-yé. Johnny, Sylvie, Hervé Villard, Sacha Distel et la pétulante Petula Clark, qui chantait du Einstein comme Florent Pagny du Calogero: «Tout le monde veut aller au ciel, oui, mais personne ne veut mourir. Personne ne veut mourir, personne ne veut mourir...»

Les années huitante. Les années Coluche et les années Jean Yann,

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