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Basketball: Etre le chassé et non pas le chasseur, ça change quoi?

Elfic Fribourg, face à Nyon, et Olympic, contre les Lions de Genève, partent favoris de leur série de play-off respective. Les deux clubs ont l’habitude d’être attendus au tournant. Mais l’étiquette implique de rester sur ses gardes, ce qui n’est pas simple.

Pour Romain Gaspoz et Elfic Fribourg, un seul mot d’ordre: peu importe l’adversaire, il faut rester sur le qui-vive. © Charly Rappo
Pour Romain Gaspoz et Elfic Fribourg, un seul mot d’ordre: peu importe l’adversaire, il faut rester sur le qui-vive. © Charly Rappo

Pierre Salinas

Publié le 12.04.2024

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Le sport est aussi hiérarchie. Pour une raison qui nous échappe, il faut un petit et un grand, un «outsider» et un favori, un «underdog», que l’on peut traduire par «marginal», et un nanti, même si le nanti n’est pas toujours celui que l’on croit.

Invaincu depuis près de deux ans et propriétaire exclusif des 15 derniers titres mis en jeu sur sol suisse, Elfic a créé un monstre. Dès dimanche (16 h), en finale des play-off de SB League et face à un Nyon qui dribble derrière un sacre national depuis quatre décennies, Abigail Fogg et ses coéquipières seront attendues au tournant. Même chose pour Olympic, qui ne s’est incliné qu’une seule fois cette saison, deux trophées en prime. Jeudi, au soir de la victoire des siens face à Monthey, Paul Gravet n’a-t-il pas jugé bon de rappeler

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