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La Switch, du canapé à la rue

La nouvelle console de Nintendo veut séduire les nomades aussi bien que les casaniers

La manette est constituée de deux éléments qui peuvent se détacher pour venir se greffer de part et d’autre de la console. © Nintendo
La manette est constituée de deux éléments qui peuvent se détacher pour venir se greffer de part et d’autre de la console. © Nintendo

Thierry Raboud

Publié le 27.03.2017

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Test »   Pour les joueurs habitués à la sainte trilogie canapé-console-télévision, l’objet a de quoi intriguer. Et pour cause: après l’échec commercial de sa Wii U, Nintendo a fait preuve d’une originalité bienvenue avec la Switch. Une «console de salon portable» qui tente le grand écart entre utilisation domestique et jeu nomade.

Dès le déballage de la console prêtée par le fabriquant, on comprend que la Switch ne fait rien comme les autres. Le cœur du dispositif est une sorte de grande tablette – écran inutile pour jouer chez soi puisqu’il s’agit d’insérer l’appareil dans un dock relié au téléviseur, mais qui se transforme en console portable lorsqu’on le désolidarise de cette station d’accueil.

Caractère hybride

La manette participe de ce caractère hybride, constituée de deux éléments qu’il faut greffer de part et d’autre d’un support pour retrouver un contrôleur à l’ergonomie discutable. Ça, c’est pour le salon. Et pour continuer la partie dans la rue, il suffit de re

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