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Un Havre de beauté né après-guerre

La ville normande, qui fête cette année ses 500 ans, dévoile une belle variété architecturale

La Porte océane 
(les deux ­immeubles 
du haut) ainsi que la tour de l’église ­Saint-Joseph sont des ­empreintes laissées par Auguste Perret au Havre. Dans cette ville ­normande, il faut pousser les portes pour voir ses ­richesses, comme, sur les images suivantes, les bains de ­Nouvel, les dalles colorées de Saint-
Joseph, 
l’intérieur 
des immeubles Perret et ­l’escalier de la bibliothèque universitaire. © Tamara Bongard
La Porte océane 
(les deux ­immeubles 
du haut) ainsi que la tour de l’église ­Saint-Joseph sont des ­empreintes laissées par Auguste Perret au Havre. Dans cette ville ­normande, il faut pousser les portes pour voir ses ­richesses, comme, sur les images suivantes, les bains de ­Nouvel, les dalles colorées de Saint-
Joseph, 
l’intérieur 
des immeubles Perret et ­l’escalier de la bibliothèque universitaire. © Tamara Bongard
Les bains de Nouvel. © Tamara Bongard
Les bains de Nouvel. © Tamara Bongard
Les dalles colorées de Saint-Joseph. © Tamara Bongard
Les dalles colorées de Saint-Joseph. © Tamara Bongard
Intérieur d'un immeuble Perret. © Tamara Bongard
Intérieur d'un immeuble Perret. © Tamara Bongard
La bibliothèque universitaire. © Tamara Bongard
La bibliothèque universitaire. © Tamara Bongard
Le Havre fête cette année ses 500 ans. © Tamara Bongard
Le Havre fête cette année ses 500 ans. © Tamara Bongard

Tamara Bongard

Publié le 26.04.2017

Temps de lecture estimé : 7 minutes

France »   Manhattan- ou Stalingrad-sur-Mer. Les surnoms qui collent aux basques du Havre sont peu flatteurs. Ils évoquent des tours austères et du bétonnage peu avenant. Pourtant la ville normande est un ravissement pour les amoureux d’architecture. Pas de vestiges gallo-romains ou de perles médiévales ici. La cité que les jeunes appellent «L.H.», en référence au «L.A.» de Los Angeles, est plutôt récente en comparaison européenne. Elle a tout juste 500 ans et s’apprête à les fêter tout l’été (voir ci-dessous).

Il avait gagné Marignan, il sentait bon le sable chaud et était pris d’une certaine frénésie de bâtir son pays: François Ier voulait un port pour Paris. Le roi français trouve l’endroit idéal dans l’estuaire de la Seine. Nous

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