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Les bijoux, beautés universelles

Depuis toujours et en tous lieux, ils parent les êtres humains. Une exposition leur est consacrée à Zurich

Les bijoux, beautés universelles
Les bijoux, beautés universelles
En haut: collier, Appenzell Rhodes-Intérieures, 1800–1830. En bas, de gauche à droite: Josef Hoffmann, pendentif, 1907. Bague, 1650–1700. 
Antoinette Riklin-Schelbert, bracelet, 1988. © Musée national suisse/MAK
En haut: collier, Appenzell Rhodes-Intérieures, 1800–1830. En bas, de gauche à droite: Josef Hoffmann, pendentif, 1907. Bague, 1650–1700. 
Antoinette Riklin-Schelbert, bracelet, 1988. © Musée national suisse/MAK
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Les bijoux, beautés universelles

Aude-May Lepasteur

Publié le 23.05.2017

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Landesmuseum »   De l’or, du grenat, du jais, de la tourmaline, du lapis-lazuli, du corail. Mais aussi, du fer, de la corne, du plastique, du caoutchouc. Les bijoux, parures des femmes et des hommes, peuvent être façonnés dans toute sorte de matière. De la plus coûteuse à la plus commune. Mais toujours, ils sont précieux à ceux qui les portent. Le Musée national suisse de Zurich consacre une belle exposition à ces ornements aux multiples significations.

On ignore quand, exactement, fut façonné le premier bijou. Mais l’on peut assurément remonter à 84 000 ans, avec ces parures de coquilles d’escargots ou de coquillages, retrouvées parfois très loin de la mer. On sait qu’elles étaient plutôt portées par les femmes et on pense qu’il s’agissait de symboles de fertilité. Les hommes, qu

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