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Le sublime côtoie le trivial

Jean-Stéphane Bron s’est immiscé dans les coulisses de l’Opéra de Paris

Le film fait découvrir Moïse et Aaron de Schönberg à travers la préparation du taureau Easy Rider et les yeux ébahis de son éleveur. © Frenetic Films
Le film fait découvrir Moïse et Aaron de Schönberg à travers la préparation du taureau Easy Rider et les yeux ébahis de son éleveur. © Frenetic Films
Le sublime côtoie le trivial
Le sublime côtoie le trivial

Elisabeth Haas

Publié le 12.04.2017

Temps de lecture estimé : 5 minutes

L’Opéra »   Pas de grands jetés spectaculaires ni de vocalises pyrotechniques: L’Opéra n’a rien d’un film pour initiés. La caméra de Jean-­Stéphane Bron s’arrête quand le rideau se lève. Elle reste en coulisses, filme les énergies rivées vers la première, les minutieux préparatifs, l’inlassable travail de répétition, les discussions au sommet. Puis revient se poser sur l’épuisement de la danseuse, les saluts et le nettoyage.

Le cinéaste vaudois a pris le pouls de la première saison de Stéphane Liss­­ner à l’Opéra de Paris. C’est la première fois que le directeur accepte de se laisser filmer par un metteur en scène de la trempe de Jean-Stéphane Bron (Le génie helvétique, L’expérience Blocher). On le voit, larmes au

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