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Autobiographie: Quand Sfar idolâtre sa mère
SJ
Publié le 24.02.2024
Temps de lecture estimé : moins d'1 minute
Le génie ne frappe pas à toutes les portes. Il a assurément défoncé sans ménagement celle de Joann Sfar. Après La Synagogue qui auscultait le rapport au père et au judaïsme, il poursuit son introspection merveilleuse. Dans Les idolâtres, c’est sa mère, ou plutôt son absence, qui occupe la première place. L’auteur explique comment le deuil et le vide maternel ont façonné sa vocation de dessinateur. Entre pesanteur et légèreté, philosophie et psychanalyse, introspection et confession, le fécond auteur signe un essai d’une belle exigence. Un album-fleuve singulier et emballant.
>Joann Sfar, Les Idolâtres, Ed. Dargaud.
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