L'enseignement du latin en grande difficulté
Avec seulement deux élèves inscrits, le Gymnase intercantonal de la Broye (GYB) n'ouvrira pour la première fois par de nouvelle classe de latin à la rentrée d'automne. Un pas franchi vers la fin de cet enseignement?
GCH/AS
Si cette situation est une première, le directeur Thierry Maire la voyait venir depuis un certain temps déjà. «Ça fait plusieurs années que nous sommes en dessous du seuil de dix élèves qui nous permet d’ouvrir une classe pour les nouveaux étudiants. Jusqu’ici, nous avons pu conserver le cours de première en trouvant des solutions mais celles-ci n’étaient pas toujours optimales.»
Avec la diminution de l'enseignement du latin, c'est tout un savoir qui est en péril. Le pas vers une suppression définitive risque-t-il d'être franchi?
>> Enquête à lire dans «La Liberté» de mercredi